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Un papa, une maman (un café et l'addition) | Ruth

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    | Ministre de la Magie ;; Mangemort

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James Eccleston
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James Eccleston


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MessageSujet: Un papa, une maman (un café et l'addition) | Ruth Un papa, une maman (un café et l'addition) | Ruth 1382875372-beat5Mer 5 Juin - 19:29

« Nous devons absolument revenir à une morale plus saine, pour préserver la société magique. Si nous nous abandonnons à la facilité, au plaisir, à la jouissance, demain, nous risquons purement et simplement de disparaître. »

Au début, James avait souri en lisant l'interview, et s'était même carrément fendu la poire. Pour son entretien hebdomadaire, Famille Sorcière ouvrait ses colonnes à deux allumés, fondateurs du mouvement « Générations ». Ces deux citoyens expliquaient que l'ennemi du monde magique n'était ni les moldus, ni les bourbistes, ni le mauvais temps qui s'éternisait en ce début juin, mais lui-même et ses vilaines habitudes. Si le monde sorcier allait mal, c'était, tout bonnement, parce que jeunes et moins jeunes s'adonnaient au vice, le mot était lâché. Dès Poudlard, les gamines n'avaient qu'une idée en tête : voir le grand hippogriffe. Et une fois qu'elles l'avaient vu, elles mettaient tout en œuvre pour voir le reste du troupeau. Rien de meilleur à espérer des garçons, qui, en prime, pratiquaient des plaisirs solitaires aussi néfastes pour leur propre santé que pour l'avenir du monde magique. Les deux zigotos préconisaient de donner aux élèves des cours appropriés pour les détourner des tentations charnelles, et leur donner de bonnes habitudes qu'ils garderaient adultes et qui feraient d'eux des sorciers responsables. À ce stade-là de sa lecture, James se marrait franchement en pensant aux torrents de semence qui, selon les interviewés, déferlaient dans Poudlard, mais la suite lui fit perdre d'un seul coup sa bonne humeur.

« Il faut cibler en priorité la jeunesse, affirmait le rigolo numéro un. C'est dès le plus jeune âge que le sens moral se développe, et à cet égard, nous ne pouvons pas dire que nos dirigeants nous laissent grand espoir. Ce sont eux qui devraient donner l'exemple en étant irréprochables, mais qu'attendre de gens – je ne citerai aucun nom, que chacun scrute sa propre conduite – qui s'occupent davantage de leurs propres plaisirs que de l'avenir du monde magique ? »

Le Ministre de la Magie avait dû relire plusieurs fois le passage pour en saisir toute la nocivité. Et la suite ne valait pas mieux : l'interview se concluait sur une attaque en règle contre le gouvernement, composé de dépravés. Laissant là le thé qu'il aimait prendre pendant sa revue de presse matinale, James roula Famille Sorcière sous sa veste, et quitta précipitamment son bureau, direction le département des Affaires Moldues. Les mots de l'interview tournaient dans sa tête. Certaines phrases sonnaient comme des attaques personnelles ; les deux ahuris de Générations étaient nettement plus âgés que Ruth et lui, mais que penser de ces sous-entendus sur « le passé sulfureux de certains de nos dirigeants, qu'ils aient d'ailleurs étudié à Poudlard ou ailleurs » ? Le Ministre de la Magie était un homme rangé, marié, père de deux enfants (qu'il n'avait pas engendrés, mais ce n'était qu'un détail). Il avait cessé de courir les aventures et se concentrait sur quelques amants triés sur le volet, dont Richard, l'un de ses adjoints au Ministère, qui savait payer de sa personne pour la bonne cause tout en restant discret. Vera et lui formaient un couple magnifique : jeunes, beaux, riches, ils attiraient les regards, un peu comme avait pu le faire la famille royale moldue en son temps. Des photos de la famille circulaient régulièrement dans la presse, pour entretenir le vernis – mais le passé pouvait toujours remonter. À présent, il fallait s'assurer que les remontées s'arrêtent là.

Il entra dans le bureau de Ruth Alexïeva sans avoir eu besoin de s'annoncer – privilège de Ministre – et jeta devant elle, sur le bureau, le magazine ouvert à la bonne page. À sa mine, elle avait compris qu'il se passait quelque chose de grave, et elle s'en empara aussitôt, sans faire la remarque narquoise qu'en d'autres circonstances elle aurait pu faire.

« Tu as lu ce torchon ? Les deux derniers paragraphes, surtout. »

Et le Ministre de la Magie se laissa tomber sur un fauteuil, pris d'une envie dévorante de changer les deux zigotos de Générations en préservatifs, histoire de rester dans le contexte.

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    |Directrice du Dpt des Affaires Moldues ;; Mangemort

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Ruth U. Alexïeva
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Ruth U. Alexïeva


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MessageSujet: Re: Un papa, une maman (un café et l'addition) | Ruth Un papa, une maman (un café et l'addition) | Ruth 1382875372-beat5Mer 5 Juin - 22:50

<blockquote>Peu de personne était aussi proche de Ruth que James. Les deux cousins avaient une amitié qui dépassait le simple stade familial. Il y avait entre eux une complicité qui s’était établie au fil des années et qui ne pouvait se briser. James savait presque tout sur Ruth à l’exception d’un seul secret, celui de sa fille aînée. Elle-même savait probablement tout ce qu’il y avait à savoir de son cousin et il n’y avait probablement rien qu’elle n’aurait pas fait pour lui. Cette proximité lui permettait de faire des choses que personne d’autre ne pouvait se permettre de faire, comme entrer dans son bureau sans se faire annoncer au préalable alors qu’elle travaillait sur un dossier sensible. Ministre où pas, elle lui aurait probablement dit de revenir à un autre moment si elle n’avait pas vu la tête qui accompagnait son entrée.

- Mesdames, Messieurs, si vous voulez bien nous excuser, nous reprendrons cette réunion prochainement. Hapkins, j’attends votre rapport sur les dernières tendances des élections moldues. J’ose espérer que les stratégies de communication que vous avez mis en place seront efficaces cette fois-ci. Je n’apprécie pas de voir le parti travailliste remonter dans les sondages.

Elle se tourna vers Clopton, sa secrétaire qui l’accompagnait depuis qu’elle était entrée au gouvernement. Elle n’eut pas besoin d’ouvrir la bouche que celle-ci déclara :

- J’apporte du thé et du café pour vous et monsieur le Ministre.

Ruth lui fit un signe de tête et celle-ci ferma la porte pendant que sa patronne s’emparait du journal que James venait de lancer sur son bureau. Elle lit celui-ci sans un mot avant de le jeter d’un air dégoûté sur son bureau.

- Comment la situation a-t-elle pu dégénérer à ce point ? On dirait de vieux puritains religieux moldus. Ils prônent l’attitude qu’un sang pur doit avoir alors qu’eux-mêmes ne sont que de vulgaire sang-mêlé.

Ruth était ulcérée et ça se sentait à son ton. Elle regarda le papier avec dégoût et cracha :

- Comment osent-ils nous dicter la conduite que nous devrions avoir, nous ! Ils devraient être reconnaissant qu’on daigne reconnaître leurs droits. Ils sont pires que les moldus.


Elle s’interrompit et massa ses tempes l’air fatigué. Être mère de deux enfants en bas âge n’était pas toujours de tout repos. S’il y a quelques années, Ruth n’était qu’une simple potionniste au service de l’Intendance, un mangemort de plus parmis les nombreux serviteurs du Lord. Elle avait gravis les échelons au point de faire partie des plus proches généraux du Lord. Elle dirigeait le pays en son nom accompagné de ses pairs. Avec Bellatrix Lestrange, elle était devenue une des deux femmes les plus puissantes d’Angleterre. Les années l’avaient rendues moins tolérantes à ce genre de critiques. Parce qu’elle était une femme et parce que la société sorcière était profondément patriarcale, on avait souvent tenté de lui dicter la conduite qu’elle aurait dû tenir. Or, même si elle s’était finalement mariée avec Mike, les termes du contrat avait toujours été clair et elle n’hésitait jamais à rappeler qu’elle était la seule maître de ses propres décisions.

Si Ruth menait le département des Affaires Moldues d’une main de fer dans un gant de velour, il semblait que ce n’était pas le cas de Valverde qui était en charge de la propagande et de la gestion de la presse sorcière. L’ancienne Serpentard fronça des sourcils alors qu’une idée germait doucement dans son esprit.

- James, c’est impossible que Valverde n’en ait pas entendu parler … Tu ne crois quand même pas qu’il l’a fait exprès.

Si les mangemorts étaient en apparence unis, comme dans tout groupe, les dissensions se faisaient entendre. Si Ruth gardait de bonne relation avec Valverde, James et lui ne s’étaient jamais entendu. Le vieil homme était d’une autre génération et notoirement plus coincé qu’un prêtre de l’église catholique. Ruth n’aurait pas été étonnée s’il avait laissé les choses se faire sans chercher à les stopper.


</blockquote>
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James Eccleston
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James Eccleston


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MessageSujet: Re: Un papa, une maman (un café et l'addition) | Ruth Un papa, une maman (un café et l'addition) | Ruth 1382875372-beat5Dim 9 Juin - 12:06

À l'entrée du Ministre de la Magie, tout le monde s'était levé comme un seul homme, et le silence s'était installé dans le bureau de Ruth. À vrai dire, dans sa contrariété, James n'avait pas imaginé une seule seconde qu'il pouvait déranger sa cousine en pleine réunion ; ils avaient toujours procédé ainsi, se rendant l'un chez l'autre à peu près n'importe quand, il avait simplement étendu le concept de « je fais irruption dans ton salon » à « je fais irruption dans ton bureau ». Rapidement, Ruth avait repris les choses en main et congédié son staff, non sans donner quelques consignes d'une voix sans réplique. Et tout ce petit monde était sorti, chacun saluant un Eccleston indifférent d'un « monsieur le Ministre » respectueux. James avait toujours pensé qu'il était né pour les honneurs, même lorsqu'il était un adolescent vêtu des robes de ses frères aînés par souci d'économie. Il s'était toujours senti destiné à quelque chose de plus grand, de plus noble que la carrière d'avocat qui lui était promise. Il avait touché à cela en devenant Mangemort ; il était désormais, et depuis plusieurs années, le premier Ministre puriste de la Magie, celui dont le nom resterait à jamais associé au Seigneur des Ténèbres. Un peu de la crainte inspirée par le Mage noir s'attachait à ses serviteurs ; James était respecté en tant que Ministre, craint en tant que Mangemort. On s'écartait de son chemin, on lui parlait avec déférence, c'était exactement ce à quoi il avait toujours aspiré. Il ne daigna pas répondre un mot à ceux qui sortaient, attendant d'être seul avec sa cousine pour parler. Elle parcourut en vitesse l'article, et James pouvait voir le dégoût et la colère monter en elle. Il ne releva pas l'insulte adressée aux « vulgaires sang-mêlé », qui pouvait tout aussi bien le toucher par ricochet ; Ruth oubliait parfois que son cousin n'était pas un sang-pur, et puis chacun savait qu'il y avait sang-mêlé et sang-mêlé. Lorsqu'on savait se tenir à sa place, faire allégeance à qui il fallait, servir la Magie, on pouvait s'élever au-dessus des autres. C'est pour cela que Crow avait tenu à ce que James, l'unique sang-mêlé de ce gouvernement, occupe le poste de ministre. C'était une façon de dire que le purisme n'était pas l'idéologie fermée que certains de ses détracteurs dénonçaient ; le mérite, chez les sang-pur comme chez les sang-mêlé, y était récompensé. Bien entendu, tout le monde n'était pas de cet avis, et de nombreux sang-pur estimaient qu'Eccleston usurpait la place d'un des leurs... Eris Valverde, par exemple. Ce même Valverde que Ruth soupçonnait à haute voix d'avoir laissé publier l'interview des deux ahuris. James ne répondit pas immédiatement ; Clopton, la secrétaire de Ruth, était entrée dans le bureau. Très vite, elle déposa le plateau qu'elle apportait, et s'éclipsa sans avoir prononcé un mot. James se leva pour servir deux cafés, tout en commentant d'une voix sombre :

- Bien sûr que c'est Valverde le vrai responsable. Je n'ai aucune illusion à ce sujet. Il n'a jamais pu m'encadrer, et toi non plus du coup. Il a dû être trop content de trouver des idiots utiles pour essayer de nous abattre.

Le Ministre prit place sur une chaise, la mine grave. Il sirota deux gorgées de café avant de reprendre :

- En plus, tu as vu l'encadré ? Ils disent que c'est une tendance de fond dans la société, qu'il y a plein de jeunes qui adhèrent à ces conneries... il faudrait savoir si c'est vrai, s'il y a vraiment une sympathie pour ces idées chez les sorciers.

L'encadré annonçait des milliers de sympathisants, convaincus de la nécessité de dresser un mur – le mur de la vertu, selon Générations – entre les sorciers et les moldus. Plusieurs jeunes sorciers étaient en outre cités ; ils déclaraient fermement ne vouloir connaître aucun plaisir charnel avant le mariage, car cela ne menait qu'à l'indolence de l’individu et au ramollissement général de la société... Tous avaient bien appris leur leçon, ce qui laissait à penser qu'on leur avait fourni des arguments tout prêts.

- Je trouvais Valverde plutôt calme ces derniers temps... presque poli avec moi... Ce vieux serpent, il peaufinait simplement son attaque !

Furieux, James reposa avec violence sa tasse de café sur le bureau, faisant déborder quelques gouttes de liquide. Une autre pensée lui traversa l'esprit, et il demanda à mi-voix :

- Tu crois qu'ils ont pu... entendre parler de quelque chose ? Je veux dire, vraiment ? Ou c'est lancé un peu au hasard ?

Depuis sa lecture de l'article, il se demandait si l'une de leurs anciennes conquêtes – un ancien camarade de Ruth à Durmstrang, en fait – avait pu parler. Il ne pouvait se résoudre à penser qu'ils avaient réellement été trahis, et espérait que sa cousine le lui confirmerait.
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Ruth U. Alexïeva
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Ruth U. Alexïeva


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MessageSujet: Re: Un papa, une maman (un café et l'addition) | Ruth Un papa, une maman (un café et l'addition) | Ruth 1382875372-beat5Dim 16 Juin - 22:25

L’idée que Ruth ait pu blesser James en critiquant les sang-mêlés n’avait jamais effleuré sa cousine. Dans la tête de la Directrice, James avait un statut qui se passait des considérations de sang. Bien entendu, ce n’était pas l’opinion de tous le monde et un Valverde, pour ne citer que lui, ne pardonnerait jamais au Ministre l’affront qu’était son sang aux yeux de la bonne société. Pour Ruth, il en était tout autre. Plus de dix ans après la victoire du Seigneur des Ténèbres face à Potter, ce qui était la norme était doucement oublié. Dans la société, il y avait désormais le Lord régnant en chef tout puissant. Au dessus de lui, les mangemorts, nulle lois ne s’appliquaient à eux si ce n’était celles que celui-dont-on-doit-pas-prononcer-le-nom édictaient pour eux. Seulement après venaient les sangs purs.

Ce qui était une évidence pour elle qui était au sommet de la pyramide ne semblait pas l’être pour la jeune génération. Ces jeunes sangs purs et sangs mêlés enthousiastes qui n’avaient presque connus que le purisme dans leur vie semblaient avoir oublié la terreur que devaient leur inspirer leurs dirigeants. Ruth qui n’avait plus la patience de sa jeunesse s’agaçait de voir qu’ils devaient encore s’occuper de broutilles pareille. Pourtant, ils allaient devoir le faire. Elle était mieux placée que personne pour savoir que ce genre de mouvement, s’il n’est pas contrôlé, peut faire plus de dommage qu’un doloris.

- Nous abattre ? Je ne sais pas, j’ai travaillé avec Valverde en bonne intelligence pendant des années. Je viens d’une famille aussi prestigieuse que la sienne, si pas plus. Je mentirai en disant qu’il n’a pas été contrarié que j’épouse Mike plutôt que De Saint-Clair, mais tu me connais, j’ai toujours eu le talent pour cultiver des amitiés parmis les ennemis de ma famille.

Contre toute attente, Ruth avait toujours fait preuve d’une diplomatie qui manquait aux Mulciber. Quand bien même De Saint-Clair et Valverde avaient toujours marqué une aversion profonde pour les Mulciber et les Witcher, Ruth, elle, s’était toujours très bien entendue avec eux.

- Valverde me semblerait la réponse logique. C’est son style, il adore faire passer ses messages par médias interposés, mais tu oublies un point essentiel. Il va à l’encontre des intérêts du Lord. En particulier en cette période, … troublée. On peut reprocher beaucoup de choses au vieu serpent, mais pas sa fidélité au Seigneur des Ténèbres.

L’ancienne Serpentard s’y connaissait en coup retord et elle savait très bien que ce n’était pas parce qu’on était mangemort qu’on était toujours solidaire. Néanmoins, ce genre de coup monté était clairement un coup contre l’autorité du Lord et quand bien même elle aurait adoré mettre la faute sur le vieil Eris, quelque chose ne collait pas selon elle.

- Tu ne penses pas, dit-elle pensive, que c’est fait pour donner l’impression que Valverde est derrière tout ça. Soyons honnête, ça fait trois ans que les gens n’ont pas vu le Lord en personne. Le Magistère est en mission depuis, quand bien même on donne le change, certains doivent se douter de quelque chose ou l’information a pu filtrer. Il suffirait d’un imbécile ayant trop parlé sur l’oreiller et tu sais comment vont les choses. Quoi de mieux pour affaiblir le purisme que de créer une dissension entre ses dirigeants.

Elle jeta un coup d’oeil dégoûté au journal avant de tenter de rassurer son cousin.

- Ca m’étonnerait que quiconque ait entendu quoique ce soit à ce sujet, tu sais. De toute façon, je crois que la meilleure défense est de faire comme si ça ne te concernait pas. Dans ce genre cas, même faire un démenti reviendrait à confirmer l’information.
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MessageSujet: Re: Un papa, une maman (un café et l'addition) | Ruth Un papa, une maman (un café et l'addition) | Ruth 1382875372-beat5

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